“Capitalisme ou Barbarie”, voici le choix qui nous est présenté depuis des décennies. Si vous osez évoquer les possibilités d’une autre société que celle que l’on vous impose, vous êtes soit un doux rêveur, soit un dangereux stalinien. Pourquoi les dominants s’acharnent-ils à nous enfermer dans cette binarité fictive ? Parce que les alternatives, nombreuses, ils n’en veulent pas. Ce monde – leur monde – leur convient très bien et le meilleur moyen de le préserver est de nous convaincre qu’il constitue un rempart contre l’enfer sur terre. Sans le capitalisme, sans l’état, sans les grandes industries, nous crèverions de faim, de soif et de froid. Nous nous entre-tuerions pour un lopin de terre, ce serait la fameuse “guerre de chacun contre tous”.
Dans les recoins oubliés de l’histoire, l’anarchie tisse son propre récit, éclipsé par des malentendus et des préjugés. Alors que, grâce à une propagande acharnée orchestrée par le pouvoir établi, l’anarchie est souvent associée à la violence et au chaos, il s’agit en réalité d’une philosophie centrée qui met en avant l’entraide, la liberté et l’égalité.
Tout laisse penser que 2023 va être une année difficile, l’enchaînement des “crises” – si tant est que l’on puisse encore appeler “crise” une situation qui a fini par se normaliser à force de longueur et de répétition –, l’agrandissement du fossé entre les riches et les pauvres, la dépression ambiante, la perte de sens, la disparition des valeurs, la déconnexion avec Vivant et sa destruction simultanée, … On pourrait poursuivre longtemps la liste des raisons qui devraient toutes et tous nous amener à nous interroger radicalement sur notre mode de vie et notre rapport au monde. L’un des symptômes les plus flagrants de notre époque, c’est notre incapacité à imaginer un monde différent. Notre imaginaire s’est littéralement atrophié; et parce qu’il s’est atrophié, nous ne nous rendons plus compte de ce que nous avons perdu et de ce que nous avons à gagner en laissant de la place aux alternatives qui tentent d’émerger. Les 10 livres que nous vous proposons ici sont des ouvertures…
Nous ignorons tout ou presque du monde Vivant qui nous entoure. Chaque plante, chaque insecte, chaque animal est un univers à lui tout seul. La déconnexion que nous avons opérée avec la Nature nous a fait oublier cette vérité pourtant élémentaire que tous nos ancêtres connaissaient parfaitement.
Le vin nature a la cote depuis quelques années. De plus en plus de viticulteurs s’y mettent et les consommateurs semblent apprécier la démarche, en particulier les plus jeunes. Cette tendance prend, pour une large part, ses racines dans une frange de la population à la fois sensible aux enjeux écologiques, éthiques et sociaux de notre époque. La plupart des gens n’ont toutefois encore jamais entendu parler des vins nature, ou bien seulement vaguement. Entre le label BIO, le label Biodynamique, les vins natures et les vins S.A.I.N.S, il n’est pas facile de s’y retrouver et de savoir exactement ce que ces appellations signifient. Nous vous proposons donc, dans cet article de répondre aux grandes questions qui tournent autour du vin nature et d’essayer de comprendre ce qui les distingue des autres appellations.
Dans ce conte de fées pour adultes infantilisés, les humains, qui utilisaient jadis le bois comme principale source d’énergie, découvrirent un jour le charbon, qui s’avéra plus performant que le premier et qu’ils décidèrent très naturellement de lui substituer.
Tandis que les journalistes se félicitent du « retour du beau temps », l’armée, au sein de la plupart des grandes puissances mondiales, se prépare à rien de moins qu’à une guerre climatique.
« Temps de bonté que ceux où les guerriers se menaçaient et s’abattaient encore les uns les autres, où les guerres étaient conduites encore par des gens capables de haine. A tout prendre, ces gens-là étaient encore des humains. Et ceux qui se haïssaient mutuellement pouvaient à la rigueur cesser un jour aussi de haïr ; et par là cesser aussi de combattre ; et par là cesser aussi d’anéantir ; ou peut-être même commencer à s’aimer. »
La réponse est OUI, mais la solution risque de ne pas faire l’unanimité…
On parle de 276 millions de personnes confrontées à une insécurité alimentaire grave. On accuse – à juste titre – la Russie d’instrumentaliser la crise alimentaire pour forcer les occidentaux à lever les sanctions à son égard. Ce ne sont pas les seuls à en profiter.
Et qu’importe si 91% des déchets plastiques sont brulés, jetés à la mer ou entassés dans d’immenses décharges pour la simple raison que la majorité d’entre eux est en réalité impossible à recycler. Il faut rejeter la faute sur le citoyen prétendument indiscipliné afin de détourner l’attention des entreprises qui lui imposent les emballages en plastique.